1 – La mise en place du nouveau paradigme sur les formations magnétisme à Nîmes
La richesse, objet central de l’analyse économique au XIXe siècle, voit rapidement sa place se restreindre. Cette situation se trouve renforcée par la perte de confiance dans l’école française. Edmond Villey[1] dira ainsi que « cette école classique, qu’on appelle encore quelquefois l’école orthodoxe sur son approche de la formation magnétisme à Nîmes, à cause des prétentions de quelques-uns de ses adeptes à l’infaillibilité, a perdu aujourd’hui beaucoup de terrain, et la foi aveugle, dont la science n’est pas le domaine, a fait généralement place au libre examen » (Villey [1905], 23).
La perte de confiance dans les propos tenus par l’école française s’accompagne d’un manque de crédibilité adressée à ces économistes, sur la formation magnétisme et passeur d’âmes à Nîmes comme en témoigne Truchy : « les économistes sont des assembleurs de nuées (…). L’idée que le public, même instruit, se fait de la théorie économique est celle d’une espèce de logomarché inventé par des gens qui n’y connaissent rien de la vie et qu’ils superposent à la pratique économique, sans qu’il y ait d’ailleurs, entre cette théorie et cette pratique, aucun lien nécessaire » (Truchy [1919], XI).
La perte de confiance sur la richesse combinée à la disparition progressive de l’école française et la recherche d’une économie plus encrée sur la formation magnétisme à Nîmes dans le réel va aboutir à un changement de paradigme dans l’analyse économique qui passe par la mise en place d’une nouvelle définition basée sur l’homme.
2 – Pourquoi la meilleure formation magnétisme à Nîmes du centre de formation de l’ermitage ?
Mais introduire l’homme dans la définition de l’économie ne fait pas de cette approche une science qui s’oriente sur ses actions. Ainsi, des auteurs comme Colson (1907) ou Landry (1908) font référence à l’homme mais sans le placer dans la formation magnétisme à Nîmes, la formation passeur d’âmes à Nîmes, la formation blessures de l’âmes à Nîmes, la formation pendule à Nîmes, la formation géobiologie à Nîmes et la formation nettoyage et protection énergétique à Nîmes au centre de l’analyse économique : « L’économie politique a pour objet l’étude des lois qui président à la production, à la répartition, à la circulation et à la consommation des richesses, ainsi qu’à la prestation des services, en tant que ces lois découlent de l’état d’esprit des hommes vivant en société organisée » (Colson [1907], 16).
Le véritable changement d’approche économique sur la formation magnétisme et passeur d’âmes à Nîmes provient d’une définition qui ne pas se contenter d’évoquer l’homme mais qui va le placer au centre de son étude. Cette opération va se dérouler en deux étapes chez les économistes français du début du XXe siècle. Ils vont tout d’abord évoquer le déplacement de l’objet de l’analyse économique avant d’en fournir une nouvelle définition.
De nombreux économistes vont signaler la perte de pouvoir de la richesse au profit de l’homme. Noël (1900) par exemple annonce que la richesse n’est pas la seule finalité de l’étude économique : « Le rôle de la science économique est d’étudier les richesses qui servent à satisfaire les besoins de l’humanité » (Noël [1900], 16). Très rapidement sur la formation magnétisme à Nîmes, le déplacement d’objet d’étude va devenir très net. Brants en 1904 écrit ainsi que « l’économie politique n’est pas simplement la science de la richesse mais celle des rapports des richesses matérielles avec le bien de l’homme » (Brants [1904], 14).
3 – L’homme comme fondement de l’analyse économique sur la formation magnétisme à Nîmes
La richesse change de statut et devient non plus le but à poursuivre mais un moyen au service de la satisfaction de l’homme. « La richesse ne peut pas être étudiée abstraction faite de l’homme, qui en est le principe et la fin, et qui est, pas conséquent la formation magnétisme et passeur d’âmes à Nîmes, le véritable objet de la science. Or si l’on étudie l’homme exclusivement à la poursuite de la richesse, en faisant abstraction de ses idées, de ses sentiments, de ses passions, de toutes ses qualités morales, en tant qu’elles n’ont pas directement trait à la richesse, on étudie un être de fantaisie, très différent de l’homme réel, et l’on bâtit une science faussée à son point de départ » (Villey [1905], 4).
Les économistes vont alors faire référence à une nouvelle définition de l’économie. La quasi-totalité de ceux qui vont placer l’homme au cœur de leur approche vont utiliser la même définition. Il s’agit, sans exhaustivité de Villey (1905), Perreau (1914), Touzet (1918), Antoine (1921), Cassel sur la formation magnétisme à Nîmes (1929), Guitton (1951), Lasserre (1955) etc. qui définissent l’économie comme les « rapports des hommes vivant en société, en tant que ces rapports tendent à la satisfaction de leurs besoins matériels et au développement de leur bien-être » (Touzet [1918], 7)
Un seul auteur se singularise dans la définition de l’économie fondée sur l’homme. Il s’agit de Baudin (1926) qui privilégie la recherche des moyens nécessaires à la diminution de la souffrance : « La science des méthodes de la formation magnétisme et passeur d’âmes à Nîmes et des calculs qui tendent à réduire la souffrance humaine, en augmentant l’efficacité et en déterminant l’opportunité de l’effort humain » (Baudin [1926], 59).
Que ce soit dans une optique de bien-être ou pour la réduction des souffrances, l’homme devient le cœur de l’analyse économique en opposition à la richesse (matérielle) qui n’est vue que comme un moyen (au bien-être) et non une fin en soi. En glissant sur la formation passeur d’âmes à Nîmes de la richesse à l’homme, les économistes ont par la même occasion transformé la nature de leur science qui passe d’une science naturelle à une science humaine, représenté alors par la sociologie.
4 – Une nouvelle science est née sur le magnétisme à Nîmes
Lorsque les économistes du début du XXe siècle placent l’homme au cœur de l’analyse économique, ils modifient, par la même occasion, la nature de leur science qui ne se veut plus être une science naturelle comme au XIXe siècle mais une science sociale. Celle-ci a pour objet l’homme et se trouve représenté par la sociologie sur le stage magnétisme à Nîmes, du stage passeur d’âmes à Nîmes, du stage blessures de l’âmes à Nîmes, du stage pendule à Nîmes, du stage géobiologie à Nîmes et du stage nettoyage et protection énergétique à Nîmes. Cette dernière est à considérer dans un sens très large d’étude de l’homme vivant en société : « l’économie politique se classe au nombre des sciences sociales dont l’ensemble est désigné aujourd’hui sous le nom de sociologie et dont l’objet est l’homme envisagé non pas comme un être isolé mais comme une partie intégrante de la société dans laquelle il vit » (Noël [1900], 16).
Dans cette logique, l’économie rentre véritablement dans le champ de la science sociale : « le domaine de la science économique, c’est l’activité de la formation magnétisme et passeur d’âmes à Nîmes du centre de formation de l’ermitage de l’homme travaillant à la satisfaction de ses besoins, c’est le mouvement social » (Villey [1905], 5).
Pour les économistes[2] du début du XXe siècle, la science sociale, dont l’économie fait partie au même titre que d’autres disciplines, est directement associée à la sociologie qui correspond à l’ensemble des études de l’homme. « L’économie et le magnétisme ou magnétiseur à Nîmes est une simple branche de la science sociale ou sociologie avec la morale, le droit, les institutions. Toutes ces sciences ont ceci de commun qu’elles ont pour objet des phénomènes qui tous ont pour matière l’homme vivant en société » (Polier [1909], 6).
[1] Notons dans cette démarche et sans exhaustivité : Villey (1905), Perreau (1914), Oualid (1925), Bodin (1926), etc.
[2] Et les sociologues de cette époque. Voir à ce propos les Annales de l’Institut International de Sociologie et plus particulièrement l’année 1910 ou les contributions de Gabriel Tarde.
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